Rapport en temps réel avec GA4 BigQuery et Looker Studio

Se plonger dans l’analyse en temps réel avec Google Analytics 4 n’est pas qu’un défi ; c’est un art. Cet article plonge au cœur des rapports en temps réel à l’aide de BigQuery et Looker Studio, deux outils qui, lorsqu’ils sont maîtrisés, transforment des montagnes de données en tableaux clairs. Comment construire un tableau de bord qui ne serait pas qu’un simple amas de chiffres, mais un véritable guide à travers le vaste océan des événements numériques ?

Structure de la page du rapport dans Looker Studio

Structurer un rapport Google Analytics dans Looker Studio, c’est un peu comme monter un meuble IKEA : il faut des tours de vis et beaucoup de patience, le résultat dépendant surtout des instructions… et de votre capacité à comprendre le suédois. Ici, pas de crampons, mais des sections. Accrochez-vous, on va plonger dans l’infinie beauté de la data !

Premièrement, la Vue d’ensemble. C’est la page qui vous dit si votre site est un chef-d’œuvre ou un naufrage en temps réel. Pensez à y intégrer des KPIs importants tels que le nombre d’utilisateurs, la durée moyenne de session et le taux de rebond. C’est un peu comme faire un bilan de santé : si le pouls est trop bas, il est peut-être temps de s’inquiéter et d’agir.

  • Vue en temps réel : comme son nom l’indique, vous pourrez y voir les internautes qui naviguent tels des ghosts dans le couloir d’un manoir hanté. Vous saurez en un clin d’œil qui se frotte à vos richesses numériques, et peut-être même prévoir les futures requêtes Google du type « comment fuir un site web horrible ».
  • Équipements : parce que traiter des data sans connaître les appareils des utilisateurs, c’est un peu comme faire la cuisine sans se soucier des allergies. Qui utilise quoi ? Smartphone, tablette, c’est la première question à se poser avant de préparer un menu UX digne de ce nom.
  • Pages : ne sous-estimez pas le pouvoir des pages. C’est là que se cache votre contenu, prêt à séduire ou à fuir. Analysez les pages les plus visitées et celles dont les visiteurs gardent un souvenir ému… ou plutôt en pleurs.
  • Événements : car ce qui se passe sur votre site ne se résume pas à des chiffres. Ici, on parle d’interactions. Qu’ont-ils cliqué ? Combien de fois ? Autant de grains de sable dans le désert d’une stratégie digitale qui nécessite une bonne paire de jumelles pour comprendre les mouvements des dunes.
  • Fenêtre de débogage : bourré de promesses, c’est un peu comme l’aspect « sexy » de la programmation. La data qui ne s’affiche pas, c’est comme un camembert sans fromage. Avec cette fenêtre, détecter les anomalies devient un jeu d’enfant — un enfant qui porte des lunettes à triple foyer, mais quand même.

Chaque page doit être soigneusement liée. C’est une danse enjouée où les interconnections prennent vie, et les utilisateurs, tels des danseurs de tango, se déplacent avec aisance entre les sections, profitant du spectacle des données. L’art de structurer un rapport dans Looker Studio, c’est donc de jongler avec ces pages, tel un artiste de la moulinette, pour créer une expérience harmonieuse, qui fait de votre rapport un chef-d’œuvre contemporain… ou du moins, largement passable.

Modifications et calculs à appliquer

Récupérer des données brutes dans BigQuery, c’est un peu comme déguster un bon vin sans l’aération : ça pue la fermentation et les arômes sont camouflés par la lourdeur des tannins. Avant de passer à la mise en forme adorée du grand salon Looker Studio, il va falloir procéder à quelques modifications et calculs. Comme en cuisine, il vous faut les bons ingrédients pour une recette réussie — et ici, les bons champs sont tout aussi cruciaux.

Commençons par un classique : le changement de type de données. S’il y a une chose que je déteste (mais qui arrive trop souvent), c’est la forme inappropriée des chiffres qui se prennent pour des chaînes de caractères. Un bon type de données, c’est comme un bon soupçon d’ironie : c’est ce qui donne toute la saveur à l’analyse. Par exemple, pour transformer ce joli petit chiffre qui se prend pour un texte en un chiffre digne de ce nom, voici un extrait de code que je vous livre comme un mémo sur une nappe à carreaux :

SELECT CAST(ma_colonne AS FLOAT64) AS ma_colonne_optimisee
FROM mon_tableau;

Étape suivante : l’étiquetage des événements de conversion. On sait tous à quel point il est frustrant de retrouver des événements classés en mode “Erreur 404 – Page introuvable”. Il suffit donc de mettre un petit coup de polish à ces événements. Pour ce faire, vous pouvez créer des étiquettes de conversion appropriées, comme suit :

SELECT *, 
       CASE 
           WHEN type_evenement = 'achat' THEN 'Conversion - Achat' 
           ELSE 'Conversion - Autre' 
       END AS etiquette_conversion
FROM mon_tableau;

Enfin, il est temps de jongler avec le temps, comme un magicien au bord du gouffre. Calculer les différences de temps peut souvent se révéler être une expérience révélatrice, surtout lorsqu’il s’agit de comprendre les comportements d’achat. Que diriez-vous d’une requête qui vous dévoile le temps écoulé entre la première visite et la conversion ?

SELECT *,
       TIMESTAMP_DIFF(heure_conversion, heure_visite, SECOND) AS temps_difference
FROM mon_tableau;

Tout ceci est bien plus qu’un banal régal virtuel. Ces ajustements sont essentiels pour garantir la pertinence de vos rapports en temps réel. Sans eux, vos analyses flottent comme un canard en plastique dans une baignoire — amusantes, mais fondamentalement inutiles. Alors, avant d’intégrer vos données dans Looker Studio, n’oubliez pas que la forme fait souvent la différence. Une bonne présentation, c’est comme un bon mot d’esprit : ça laisse son empreinte. Une finition soignée, voilà la clé d’une analyse percutante. Et en matière d’analyse de données, mieux vaut de l’audace que de la mollesse.

Pour des astuces supplémentaires, allez donc faire un tour sur ce site unique où l’on sait manier l’analyse avec finesse et humour.

Construction du tableau de bord

Construire un tableau de bord dans Looker Studio, c’est un peu comme assembler un meuble IKEA : on a les informations bien alignées, mais on finit toujours par perdre une vis en cours de route. Pas de panique, même si l’angoisse de la pièce manquante nous guette, l’important ici est de créer un espace de travail qui serait presque plaisant à consulter — si ces chiffres de conversion ne vous rappelaient pas vos échecs passés.

La première étape est d’organiser votre toile vierge. Ajoutez des graphiques comme on placerait des tableau-femmes au plafond pour faire joli. Ces morceaux de couleurs vives vont attirer l’œil et tenter d’atteindre une forme de communication visuelle. De la courbe à la jauge, tout y passe. Des lignes qui montent pour le plaisir des yeux et des cartographes d’échéance qui font comprendre que, oui, vous avez bien compris que le trafic avait chuté pendant la dernière promotion de votre célèbre collection de chaussettes invisibles.

  • Filtres : Ah, les filtres – les petits ninjas de l’analyse data. Ils vous permettent de dire « Dégagez, je ne veux pas de ce segment de clients ! » et de vous concentrer sur ce qui importe vraiment, comme éventuellement les clients qui ne pensent pas que les chaussettes à rayures sont votre produit phare.
  • Boutons : Les boutons, ces joyeux lurons, ajoutent une interactivité réjouissante. Cliquez ici pour voir, là pour changer. Imaginez que vous êtes en train de jouer à un jeu vidéo où il vous reste combien de vies avant d’exploser… avec ces données, vous n’avez même pas besoin de manette. Juste votre souris, et un peu de chance.
  • Graphiques : Passez aux graphiques en barre et en secteurs, parce qu’il n’y a rien de mieux que de décortiquer les chiffres avec l’élégance d’un steak tartare mal coupé. Chaque couleur, chaque forme doit avoir un sens, comme les excuses de votre collègue quand il ne veut pas prendre la responsabilité d’un projet qui a malencontreusement pris feu.

Et n’oubliez pas, personnalisez votre tableau selon les besoins des utilisateurs. C’est le potentiel caché de chaque tableau de bord : la personnalisation est la cerise sur le gâteau (à condition que ce ne soit pas un gâteau à la châtaigne, tous les goûts sont dans la nature, après tout). Vos utilisateurs sont des individus, pas des clones de l’Inquisition. Investir dans leur expérience, cela, mes amis, c’est de l’art, vous verrez !

Pour vous lancer dans cette aventure palpitante du tableau de bord, vous pouvez consulter cet article ici. Bonne chance, et que le chiffre soit avec vous !

Conclusion

Nous avons exploré la fabrication de rapports en temps réel à partir des données de Google Analytics 4 via BigQuery et Looker Studio. Chaque étape, de la structure de rapport jusqu’à la construction du tableau de bord, nous montre que la personnalisation et l’optimisation des données sont essentielles pour tirer le meilleur parti de nos analyses. N’oubliez pas : un bon tableau de bord est celui qui inspire des décisions, non des souvenirs de chiffres assommants.

FAQ

Qu’est-ce que Looker Studio ?

Looker Studio est un outil qui permet de créer des tableaux de bord interactifs et des rapports basés sur des données provenant de diverses sources, dont Google BigQuery.

Pourquoi utiliser BigQuery avec GA4 ?

BigQuery permet d’analyser de grands volumes de données rapidement et efficacement, offrant ainsi une flexibilité pour construire des rapports en temps réel plus détaillés.

Quels types de données peuvent être visualisés en temps réel ?

On peut visualiser des métriques telles que les utilisateurs, les sessions, les événements, les conversions, et bien plus encore, directement à partir des données de GA4.

Comment effectuer des calculs sur BigQuery dans Looker Studio ?

Il suffit de créer des champs calculés dans Looker Studio où l’on peut appliquer des formules pour manipuler les données avant de les visualiser.

Le tableau de bord peut-il être personnalisé ?

Absolument, le design, l’architecture, et les rapports peuvent être adaptés selon les besoins spécifiques des utilisateurs pour refléter l’image de marque de l’entreprise.

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